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Rāj-al-Kinaālsā

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Date d'inscription : 10/04/2022
MessageRāj-al-Kinaālsā
Rāj-al-Kinaālsā EmptyDim 10 Avr - 16:40
[Rāj-al-Kinaālsā ]



"Nu et frêle est l'enfant qui triompha de la bête
"






État


|- Régime Politique : Communalisme archaïque
|- Légitimité : Principe dynastique
|- Fondement Civilisationnel : Culture
|- Cités : Vālā Mahila
|- Tributaires : [Laisser vide]
|- Civilisation : [Laisser vide]

Diplomatie & Armée

|- Amitié : [Mattaki]
|- Rivalité : [Indiquer une potentielle rivalité obtenue avec les jets de dés sur Discord]
|- Commerce : [Indiquer un potentiel commerce obtenu avec les jets de dés sur Discord]
|- Routes commerciales : [Laisser vide]
|- Armée mobilisée : [Laisser vide]
|- Flotte mobilisée : [Laisser vide]



"Notre passé" - Mythe de la Fondation



Dans certaines circonstances un monde se crée à la convergence de deux autres, Rāj-al-Kinaālsā, plus communément appelé le Royaume aux rizières par les étrangers en est un modèle parfait ou se côtoie deux peuples diamétralement opposés mais pourtant lié en notre ère par une culture commune.

1) Vers un nouveau royaume

L'un de ses deux peuples les Penja-ābi, ou Penjābi sont originaire du grand ouest, là où les fructueuses rizières percent l'horizon. Des sources douteuses, plus mythologiques qu'historiques semblent accorder une origine quasi-divine à ce peuple. le Dieu-Roi Indrā-in-Penjā souhaité courtiser une humaine de la tribu des Abi, pour cela il quémanda alors sa main à son frère le Raj Malwā-in-Abi. Celui-ci avait jurer à son père de protéger son unique et plus jeune sœur, et celle-ci ne voyait en la divinité qu'un goujat qui collectionnait alors les femmes tel des joyaux. Malwā inventa alors mile ruses pour tromper la divinité lui demandant alors de dompter 7 animaux reconnus divins afin de s'assurer d'empêcher ce mariage. Mais la divinité était puissante, au bout de quatre soirs les quatre cadeaux lui été parvenu et le Raj semblait ne plus pouvoir rien faire. Alors que le cinquième cadeau un tigre fait d'or et de gemmes lui arriva, il demanda à Indrā de récupérer le sixième cadeau : Piwahnā, un dragon géant qui se mouvait si vite que même les dieux ne purent le poursuivre. La divinité eu des difficultés monstres pour l'attraper mais après deux jours il l'offrit à son futur gendre attaché à une corde magique faite des cheveux du divin permettant à tout être même non divin de le contrôler. Malwā lui demanda de chercher le dernier cadeau un poisson magique qui rendrait immortel quiconque dévorerait sa chair et qui vit à la source du fleuve souterrain (équivalent des enfers), le Dieu-Roi s'y pressa heureux d'en finir avec ces missions et de pouvoir dès ce soir profiter du fruit de son amour avec la délicieuse humaine.

Mais, le Raj du peuple des Abi venait de leurrer le divin emportant son peuple et ses biens sur Piwahnā lui ordonnant d'aller sans faiblir le plus loin à l'ouest échappant alors à Indrā et sauvant alors sa sœur. Leur voyage dura plusieurs jours et amena la peuplade loin à l'est, là Piwahnā mourut d'épuisement, on dit que de son cadavre naquit le fleuve du même nom dont les eaux abreuvent les rizières de Rāj-al-Kinaālsā. De son côté le Dieu-Roi mourut de honte et de chagrin d'avoir été leurré par un humain, de ses sentiments il libéra les cinq bêtes divines restantes et les dota d'une rage éternelle les laissant alors librement sévir dans les nouvelles terres de la peuplade. Mais ne s'acquittant pas de cette punition le divin mourant de son amour enfanta la jeune princesse, lui donnant un fils à la fois fort et frêle dont l'accouchement lui fit fatale. Malwā de son côté qui venait d'échouer à protéger sa sœur parti en exil à la recherche du dernier cadeau du Dieu espérant ramener à la vie sa sœur, mais la distance était infini et il mourut d'épuisement.
2) Kināa, l'enfant d'Indrā

Vu comme une malédiction l'enfant d'Indrā ne connu que l'exil est vécu une jeunesse des plus dures, ne mangeant jamais à sa faim le contraignant alors à un corps frêle qui même à l'âge d'adulte n'avait grandit. Dans son exil, celui qu'on appelait Kināa (Grain de riz, de par son physique) trouva refuge dans une autre des peuplades qui vivaient en ces terres : les Yezids, peuple austère qui vivait au nord dans les forêts et dont l'essentiel de l'activité consistait à couper du bois qu'il vendait par le biais du fleuve aux installations humaines environnantes. Là, c'est un ermite, personnage sacré mais laïc qui l'accueillit, une vie encore plus difficile lui fit enseigné, comme le voulait la tradition, les ermites vivaient nus avec comme seul outil une hache et une pirogue. Malgré cet situation, Kināa s'il possédait un corps frêle et nain, possédait aussi la force de son père, il était fort habile et puissant de sorte qu'il trouva auprès des Yezids du réconfort et de la reconnaissance.

De leur côtés, les Abis subissaient le courroux des bêtes et des maladies de sorte que leur développement était relativement lent, leur nouveau chef qui venait de se faire déloger de sa capitale par l'ignoble tigre d'or et de gemmes : Shere Kaān , chercha auprès des ermites yezids la force nécessaire à reprendre son joyau prospère de Vālā Mahila contre rémunération. Mais rare était les ermites volontaires et l'adversaire ne leur laissait aucune chance, les laissant agonisant sur les rives du fleuve. Quant un jour, Kināa dont l'identité avait été oublié et son maître se présentèrent, l'actuel Raj faillit mourir de rire à la vue de cet homme à l'allure de bébé qui oser défier l'ignoble et terrifiante bête mais le demi-dieu ne lui en tient pas rigueur. Le lendemain, Kināa qui cherchait des compagnons rencontrât un groupe d'aventurier de la Cité de Mattaki venu pour la prime, il ne tardèrent à accepter de collaborer quand le frêle homme souleva deux arbres seul.

Ils partirent ensemble sur le chemin de la capitale, là traversant d'innombrables forêts avant d'arriver à vue de l'ancienne capitale des Abis qui il y a peu était peuplée de près de 30 000 âmes. Ils posèrent le camp à proximité de celle-ci, mais à peine la nuit fut tombée qu'un rugissement vient écourter toute tentative de sommeil : la bête les avaient trouvés. Il n'eurent que peu de temps pour s'organiser que la bête faite d'or et de gemmes arrachait la tête d'un aventurier de Mattaki avant de sectionner en deux l'ermite. Kināa frappa alors de sa hache la tête de la bête mais dont la dureté lui permis de subir aucune blessure, les aventuriers lancèrent alors des javelots mais le résultat fut le même et alors que les pertes augmentaient, l'enfant vit une faille, sur le côté droit Indrā lui avait fait une importante entaille, Kināa la frappa alors de toutes ses forces brisant la bête en deux. Le Raj qui apprit la nouvelle vint lui même vérifiait la victoire de l'enfant et par conséquent reprendre son dû avec son peuple. Arrivé devant l'enfant il constata sa prouesse et lui fit tendre un trésor. Mais Kināa dévoila son identité, il refusa alors le paiement et se légitimant comme l'héritier des Abis et des divinités Penjā il prit possession de la ville offrant à ses alliés Mattakis la dépouille de la bête.

Kināa n'acheva pas ses prouesses combattant les bêtes divines offertes par son père et se légitimant année après année auprès du peuple Abi. Il fonda son propre Raj et unifia le peuple Abi donnant naissance à l'ethnie des Penja-ābi, proche des Yezids il s'inspira des deux cultures pour former un état nouveau bi-culturel : Rāj-al-Kinaālsā
   


"Nobles lignées" - Les grandes familles


A la mort du demi-dieu Kinaa, la légitimité qui lui était dû de par ses pouvoirs périclita, si la royauté subsistait elle n'était qu'un mirage et l'économie tournait vers le commerce et l'exploitation de grandes plantations vit naître une ère de gouvernance citadine sous le contrôle de 5 familles patriciennes.

In-Osmani : Les Osmani sont l'une des deux familles les plus puissantes à l'origine du phénomène de dyarchie, ils contrôlent les mines d'argiles et briqueteries des environs, de fait ils sont célèbre pour avoir construit l'essentiel des bâtiments et pour être doué dans l'architecture.  

Membres :
Behrdâd-in-Osmani, 41 ans, chef de la famille
Farah-in-Osmani, 38 ans, femme de Behrdâd
Dastan-in-Osmani, 21 ans, fils de Behrdâd, héritier de la famille
Mahshid-in-Nassiri, 17 ans, femme de Dastan
Parham-in-Osmani, 1 an, fils de Dastan
Sepideh-in-Osmani, 16 ans, fille de Behrdâd
Zakaryâ-in-Osmani, 15 ans, fils de Behrdâd, architecte.

In-Abbassi : Les Abbassi sont l'une des deux familles de la dyarchie, leur puissance était déjà attesté avant la migration, ils contrôlent une importante flotte de commerce et des sites de production d'épices.

Membres :

Ebrâhim-in-Abbassi, 33 ans, chef de la famille
Aida-in-Fannizadeh, 30 ans, femme d'Ebrâhim
Dalir-in-Abbassi, 13 ans, fils d'Ebrâhim, héritier de la famille
Gorgin-in-Abbassi, 11 ans, jumeau de Marduk, fils d'Ebrâhim
Marduk-in-Abbassi, 11 ans, jumeau de Gorgin, fils d'Ebrâhim
Rahim-in-Abbassi, 29 ans, frère d'Ebrâhim
Maryam-in-Ebrahim, 28 ans, femme de Rahim
Parvaneh-in-Abbassi, 11 ans, fille de Rahim

In-Fannizadeh : Les Fannizadeh font parti des trois familles mineures, ils se sont hissés bien que mal grâce à leur courage et témérité en tant que guerrier de la Cité-Etat. Mais, il souffre d'un mode de vie luxueux qui leur a couté dans l'histoire de nombreuses sources de revenus.

Sâm-in-Fannizadeh, 36 ans, chef de la famille.
Donyâ-in-Ebrahim, 36 ans, femme de Sâm
Banafsheh-in-Fannizadeh, 16 ans, fille de Sâm
Toraj-in-Fannizadeh, 13 ans, fils de Sâm, héritier de la famille

In-Nassiri : Les Nassiri font parti des trois familles mineures, ils n'ont pas de spécialité à proprement parler et touche économiquement à tout, il possède des terres à l'extérieur de la Cité vers le nord ainsi que quelques navires de commerces.

Changiz-in-Nassiri, 28 ans, chef de la famille
Dariâ-in-Osmani, 26 ans, femme de Changiz
Farid-In-Nassiri, 5 ans, fils de Changiz, héritier de la famille
Afshin-In-Nassiri, 21 ans, ermite yezid

In-Ebrahim : Les Ebrahim font parti des trois familles mineures, ils sont célèbre pour leur influence sur le Raj et par conséquent ils sont les organisateurs de la vie du Royaume une fois les "murs" de la Cité franchit.

Farah-in-Fannizadeh, 33 ans, régente de la famille
Guiv-in-Ebrahim, 9 ans, fils de Farah, héritier de la famille
Ghazaleh-in-Ebrahim, 6 ans, fille de Farah




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